Aus dem Pfälzerwald nicht wegzudenken und aus diesem Grund ebenfalls ein Teil unserer Serie ist die Edelkastanie. Kaum ein*e Leser*in dieses Texts wird nicht schon einmal im Herbst „Keschde“ gesammelt und sie zuhause im Ofen oder Topf zubereitet haben. Was heute eine beliebte Beilage zu Wildgerichten ist, war früher überlebenswichtiges Grundnahrungsmittel der ärmeren Bevölkerung. Gemeinsam mit der Weinrebe brachten die Römer die Edelkastanie über die Alpen nach Deutschland. Und nicht nur die Frucht dieses Baumes ist äußerst beliebt, ebenso vielseitig ist sein qualitativ hochwertiges und widerstandsfähiges Holz einzusetzen.
Jetzt Ende Juni steht die Edelkastanie in voller Blüte, wie auf unserem Foto zu sehen ist. Dabei befinden sich männliche und weibliche Blüten am gleichen Baum. Die Bestäubung erfolgt durch Insekten. Im Oktober reifen die sogenannten „Plumpsfrüchte“, die botanisch gesehen Nüsse sind. In der stacheligen Hülle befinden sich meist drei davon. Eine spezielle Zuchtform bringt die „Marroni“ hervor. Diese Frucht ist besonders groß und sitzt allein in der Hülle.
Übrigens, die Edelkastanie gehört zur Familie der Buchengewächse. Ist also mit der Rosskastanie trotz des ähnlichen deutschen Namens nicht näher verwandt. Letztere zählt zu den Seifenbaumgewächsen.
Châtaignier (Castanea sativa)
On ne peut plus imaginer la forêt du Palatinat sans le châtaignier et c’est pourquoi il fait partie de notre série. Presque tout le monde a déjà ramassé les châtaignes – en dialecte du Palatinat « Keschde » en automne et les a cuites au four ou à la vapeur. Ce qui est aujourd’hui une garniture appréciée des plats de gibier était autrefois un aliment de base nécessaire de survie pour les pauvres. Les romains ont fait traverser les alpes non seulement à la vigne mais aussi au châtaignier pour les introduire en Allemagne. Ce n’est pas seulement le fruit du châtaignier qui est apprécié, aussi le bois résistant et de haute qualité trouve son utilisation dans multiples applications.
Maintenant, fin juin, les châtaigniers sont en pleine floraison, comme on le voit sur la photo. Les fleurs mâles et femelles se trouvent sur le même arbre. La pollinisation s’effectue par les insectes. C’est en octobre que les fruits qui, du point de vue botanique font partie des noix, mûrissent. Dans la bogue formant une sorte de coque hérissée d’épines on trouve le plus souvent trois noix. Le marronnier est le produit d’une culture spéciale. Le marron est particulièrement gros et est le seul fruit dans la bogue.
En fait, le châtaignier fait partie de la famille des Fagacées, pendant que le marronnier fait partie de la famille des Sapindacées.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu der Art in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/3680

Barbe-de-bouc (Aruncus dioicus)
La barbe-de-bouc fleurit en juin et peut se faire admirer assez souvent dans la forêt du Palatinat en bord des chemins larges. Dans son territoire de répartition naturel, cette espèce pousse jusqu’au nord-ouest de la forêt du Palatinat. En Rhénanie-Palatinat, il n’y en a presque pas en dehors de la forêt et si on en trouve, il s’agit de plantes de jardin qui se sont naturalisées. L’inflorescence de la barbe-de-bouc ressemble à celle du châtaignier et ces deux espèces fleurissent en même temps, parfois au même endroit. Mais elles ne sont pas apparentées, puisque la barbe-de-bouc fait partie de la famille des Rosaceae.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu der Art in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4119
Die Karthäuser-Nelke ist die dritte Art der Gattung Dianthus, die wir vorstellen. Sie wächst auf stickstoffarmen, mäßig sauren, mäßig basischen Standorten auf steinig sandigen Böden in Magerwiesen, Trockenrasen, an Böschungen, Waldrändern und sonnigen Hängen. Im Pfälzerwald gibt es sie stellenweise in Massen an blütenreichen Straßenböschungen, in Bereichen, wo vor nicht langer Zeit Straßen verbreitert oder Radwege neu angelegt wurden. Vermutlich wurden hier handelsübliche Blühmischungen ausgesät, die Samen der Karthäuser-Nelke beinhalteten. Dies würde erklären, weshalb es an manchen Stellen große Vorkommen gibt, während man die Art im Pfälzerwald ansonsten eher selten antrifft.
Wie die bereits vorgestellten Dianthus-Arten wird auch die Karthäuser-Nelke in Rheinland-Pfalz als ungefährdet eingestuft, in einigen anderen Bundesländern steht sie aber bereits auf der Roten Liste. Typisch für diese Nelke sind die endständigen, köpfchenförmigen Blütenstände, die jeweils sieben bis 15 Einzelblüten enthalten. Außerdem fehlt eine auffällige Punktierung der Blütenblätter, wie sie bei der Heidenelke und der Rauhen Nelke zu finden ist.
Benannt wurde die Karthäuser-Nelke nach den Kartäusermönchen, welche im namensgebenden Mutterkloster „La Grand Chartreuse“ die Pflanze als Arzneipflanze in ihrem Klostergarten anbauten. Dianthus carthusianorum wurde als Tinktur verwendet, und muskelkranke Mönche setzten sie als Heilmittel gegen rheumatische Beschwerden ein.
Œillet des chartreux (Dianthus carthusianorum)
L‘Œillet des chartreux est la troisième espèce de Dianthus que nous vous présentons. Elle pousse sur les sols pauvres en azote, en acide et base modérés, les sols sablonneux et caillouteux, les prés maigres et sècs, sur les talus, en bord des chemins et des pentes ensoleillées. Dans la forêt du Palatinat on en trouve en masse sur les talus des routes qui sont couverts de fleurs, souvent dans les secteurs où on a élargi récemment les routes. C’est que probablement on y a semé des mélanges de graines disponibles dans le commerce contenants des graines de l’œillet des chartreux. Cela pourrait expliquer pourquoi on en trouve beaucoup dans un endroit alors qu’on n’en trouve presque pas ailleurs. Comme les autres espèces de Dianthus, l’œillet des chartreux ne fait pas partie des espèces menacées en Rhénanie-Palatinat, mais est déjà sur la liste rouge de quelques lands d’Allemagne.
Caractéristique pour l’œillet des chartreux est son inflorescence qui comprend de sept à quinze fleurs solitaires. De plus, il manque les points sur les pétales comme on les voit sur les pétales de l’œillet à delta ou de l’œillet arméria.
Le nom de l’œillet des chartreux vient des moines de la chartreuse qui ont cultivé cette plante médicinale dans les jardins de leur monastère « La Grande Chartreuse ». Ils utilisaient le Dianthus carthusianorum comme teinture pour améliorer les troubles rhumatiques des moines.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu der Art in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/3721
An manchen Stellen im Pfälzerwald steigt eine wahre Duftwolke empor, wenn man über sonnige, sandige, magere Wiesen und Wege läuft. Dieses Aroma, das uns an die mediterrane Küche erinnert, stammt vom Feld-Thymian, einem kleinen Pflänzchen mit vierkantigem Stängel, der an den Kanten behaart ist. Die Blätter sind dünn, länglich-eiförmig und verfärben sich häufig rot. Die kleinen rosa Blüten, die zwischen Juni und Oktober ausgebildet werden, sitzen dicht beieinander in zylindrischen Blütenköpfchen am Ende der Zweige. Viele Insekten nutzen den Feld-Thymian sehr gerne als Nektarquelle. Besonders der Dukaten-Feuerfalter, der auch auf unserem Foto zu sehen ist, fliegt wortwörtlich auf diese Pflanze. Häufig wächst der Feld-Thymian auf Ameisenhaufen, denn seine Früchte tragen nahrhafte Ölkörper, die gerne von Ameisen eingesammelt und verschleppt werden. Als Magerkeitszeiger ist die Art eine typische Pflanze des südlichen Pfälzerwaldes, kommt aber auch an geeigneten Standorten in der Rheinebene zahlreich vor.
Thym faux pouliot (Thymus pulegioides)
Dans quelques endroits de la forêt du Palatinat on respire un vrai nuage de parfum quand on se promène dans les prés et les chemins ensoleillés, sablonneux et maigres. Ce parfum qui nous rappelle la cuisine méditerranéenne vient du Thym faux pouliot, une petite plante à tige carrée velue. Les feuilles sont fines, ovales et souvent colorés rouge. Les petites fleurs roses que l’on voit de juin à octobre poussent densement en forme de cylindre au bout d’une branche. Beaucoup d’insectes s’en servent comme source de nectar. Surtout le Cuivré de la verge-d’or que l’on voit sur la photo, adore cette plante. Souvent, on découvre le Thym faux pouliot sur les fourmilières parce ses fruits riches en huile sont appréciés par les fourmis et par ce fait collectés. Comme indicateur de maigreur, cette espèce est une plante typique de la forêt du Palatinat de sud, mais pousse également dans beaucoup d’autres endroits appropriés de la plaine du Rhin.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zum Feld-Thymian und zum Dukaten-Feuerfalter in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.:
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4792
https://arteninfo.net/elearn…/tagfalter/speciesportrait/1754
Das gelb blühende Echte Labkraut gehört zur Familie der Rötegewächse und ist an sonnig-warmen, meist südexponierten Standorten zu finden. Bevorzugt werden Magerwiesen und -weiden, Halbtrockenrasen sowie warme Saumbereiche von Gebüschen und Wegraine. Die Blätter der Art sind stachelspitzig. Durch den umgerollten Rand erscheinen sie wie Nadelblätter. Die kleinen Blüten sind in rispigen Blütenständen angeordnet und riechen intensiv nach Honig. Sie werden gerne von Bienen besucht und die Raupe des Kleinen Weinschwärmers benötigt das Echte Labkraut als Nahrungspflanze. Der deutsche Name weist übrigens auf die frühere Verwendung des Krauts bei der Käseherstellung hin, denn der Pflanzenpresssaft bringt, genau wie Lab, Milch zum Gerinnen.
Gaillet jaune (Galium verum)
On trouve le Gaillet jaune de la famille Rubiacées dans des endroits chauds et ensoleillés exposés au sud. Il préfère des prés et pâturages maigres, les pelouses semi-sèches ainsi que les lisières des buissons. Les feuilles de cette espèce sont légèrement enroulées et par ce fait la pointe de la feuille ressemble à une épine. Les petites fleurs en panicules ont une odeur intensive de miel. Les abeilles la fréquentent et les chenilles du Petit sphinx de la vigne en ont besoin comme nourriture. Son nom allemand – Labkraut – fait référence à son ancienne utilisation pour la production du fromage ; Le jus du gaillet jaune fait, comme la présure (en allemand « Lab »), coaguler le lait.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu der Art in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4540
Wir freuen uns mit unserer Kreisgruppe Donnersberg über ihren neuen Internetauftritt, auf dem Sie aktuelle Neuigkeiten rund um die Kreisgruppe erfahren. Folgen Sie einfach dem Link https://pollichia-donnersberg.de/ oder klicken Sie das Vorschaubild an.
Ende Mai haben wir das Wald-Habichtskraut vorgestellt, das zu dieser Zeit im Pfälzerwald vielerorts in voller Blüte stand. Wie dort bereits angekündigt, stellen wir heute eine weitere Habichtskraut-Art, das Glatte Habichtskraut, vor. Dessen Stängel sind stärker verzweigt und daran sitzen deutlich mehr Stängelblätter. Dagegen fehlt dieser Art zur Blütezeit eine am Boden aufliegende Blattrosette. Die Blütezeit von Hieracium laevigatum beginnt jetzt erst und reicht bis in den August hinein. Auch das Glatte Habichtskraut wächst an Waldrändern, kann jedoch auch Magergrünland, Grünlandbrachen und Heiden besiedeln.
Abgesehen von den beiden somit bisher vorgestellten großen Habichtskrautarten gibt es im Pfälzerwald nur noch drei weitere Hauptarten: Die noch später aufblühenden Arten Doldiges Habichtskraut (Hieracium umbellatum) und Savoyer Habichtskraut (Hieracium sabaudum) sowie das Gewöhnliches Habichtskraut (Hieracium lachenalii) mit nur 3 – 5 Stängelblättern, das gemeinsam mit dem Glatten Habichtskraut gerade in der Blüte steht. Im Gegensatz zum Gewöhnlichen Habichtskraut besitzt das Glatte Habichtskraut, wie der Name vermuten lässt, unbehaarte Blattränder.
Épervière lisse (Hieracium laevigatum)
Fin mai, nous vous avons présenté l’Épervière des murs qui fleurissait à cette époque-là dans la forêt du Palatinat. Comme promis en mai, nous vous présentons aujourd’hui une autre espèce d’Épervière – l’Épervière lisse. Ses branches sont beaucoup plus branchées et montrent beaucoup plus de feuilles. Cependant, cette espèce n’a pas rosette de feuille pendant la floraison. La floraison de Hieracium laevigatum commence seulement ces jours et dure jusqu’à fin d’août. L’Épervière lisse pousse également en bord de forêt, mais il est aussi possible de la trouver dans les pelouses calcaires, les jachères et les landes.
A part de ces deux espèces, ils existent à la forêt du Palatinat encore trois autres espèces principales : l’Épervière en ombelle (Hieracium umbellatum) qui fleurit plus tard, Hieracium sabaudum) ainsi que Hieracium lachenalii qui n’a que trois à cinq feuilles et qui fleurit simultanément avec l’Épervière lisse. Contrairement à Hieracium lachenalii, l’Épervière lisse n’a pas de feuilles velues.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu den Arten in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.:
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4991
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/5000
Regelmäßig kann man in der Pfalz Misteln in den Baumkronen finden. Die beiden häufigsten Mistelarten unterscheiden sich in ihrer Wirtsbaumwahl. Während die Laubholz-Mistel (Viscum album) nur auf Laubbäumen vorkommt, findet man die Nadelholzmistel (Viscum laxum) nur auf Nadelbäumen. Fallen Zweige, Teile der Zweige oder Blätter auf den Boden und bleiben dort länger liegen, kann man einen sehr häufigen Pilz auf den bereits gelb verfärbten Pflanzenteilen finden. Er lebt als Zersetzter von dem Pflanzenmaterial der Misteln. Der Pilz bildet graue bis schwarze Fruchtkörper aus, welche bei Reife aus der Epidermis der Pflanzen hervorbrechen. Stängel und Blätter sind dann mit kleinen dunklen Pusteln oder Erhebungen besetzt.
Text und Foto: Julia Kruse
Mehr zu den Misteln in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.:
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4492
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4491
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4493
Beim Gefleckten Knabenkraut unterscheiden Orchideenexperten mehrere Sippen, die teilweise als Arten, Unterarten oder lokaltypische Variationen behandelt werden. Im Pfälzerwald finden wir unterschiedlich gefärbte Blüten. Es gibt rein weiße Blüten, ohne violette Muster, daneben weiße Blüten mit violetten Mustern und rosa Blüten mit violetten Mustern. Dort, wo das Gefleckte Knabenkraut mit dem Breitblättrigen Knabenkraut zusammen vorkommt, können sogar Mischformen auftreten. Bezüglich des Blühzeitraumes gibt es wenig Überschneidung zwischen den beiden. Wenn sich das Gefleckte Knabenkraut auf dem Höhepunkt seine Blütezeit befindet, sind die letzten späten Blüten des Breitblättrigen Knabenkrautes am Vergehen. Übrigens fällt die Hauptblütezeit von Dactylorhiza maculata agg. in die Zeit, in der im Pfälzerwald die meisten extensiv genutzten Wiesen gemäht werden, Mitte bis Ende Mai. Das scheint den Pflanzen aber wenig auszumachen, man findet sie auch dort, wo sie nicht zur Samenreife kommen. Überdies wächst das Gefleckte Knabenkraut im Pfälzerwald weitegehend ungestört auf Wiesenbrachen, in Säumen und an lichten Waldwegen. Beim Wandern hat man hier im Juni gute Chancen, die Orchidee anzutreffen.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu der Art in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/5153
Vor etwa zwei Wochen wurde bereits die Heidenelke der Gattung Dianthus vorgestellt, heute ergänzen wir die Vertreter dieser Gattung um Dianthus armeria. D. armeria wird im Deutschen unter dem Namen Rauhe bzw. Raue Nelke geführt, da die schmalen lanzettlichen Blätter sowie der Stängel der Pflanze rau behaart sind. Darüber hinaus ist die Pflanze auch unter dem deutschen Namen Büschelnelke in der Literatur zu finden, was auf die Anordnung der Blüten in Büscheln von zwei bis zehn einzelnen, kurzstieligen Blüten zurückzuführen ist. Die purpurroten Blütenblätter sind schmal keilförmig, vorne leicht gezähnt und haben weiße und dunkle Punkte. Die Pflanze wächst auf stickstoffarmen, sauren Standorten an trockenen Wald- und Gebüschrändern sowie in Heiden und Magerrasen. Wie alle Arten der Gattung Dianthus (Nelken) ist die Rauhe Nelke bundesweit geschützt. In Rheinland-Pfalz ist sie als ungefährdet eingestuft, in einigen Bundesländern steht sie bereits auf der Roten Liste der gefährdeten Arten. Die Rauhe Nelke ist eine zweijährige Pflanze, die im ersten Jahr eine Blattrosette und im folgenden Jahr den kurzhaarigen, reich verzweigten Blütenspross entwickelt.
Œuillet arméria (Dianthus armeria)
Il y a à peu près deux semaines que nous vous avons présenté l’Œuillet couché de la famille des Dianthus. Aujourd’hui, nous complétons la famille par l’espèce de l’Œuillet arméria. L’Œuillet arméria, en allemand connue sous le nom de « Rauhe Nelke ou Raue Nelke » ce qui est équivalent au nom français « œillet velu », porte son nom parce que ses feuilles étroites et lancéolées ainsi que la tige sont velues. Aussi, en allemand, on la trouve dans la littérature sous le nom de « Büschelnelke » = « œillet en touffe » à cause de la disposition de deux à dix fleurs à courtes tiges en touffes. Les pétales pourpres cunéiformes, faiblement dentées portent des points blancs et foncés. La plante pousse dans les sols pauvres en azote, acides, aux bords des forêts et buissons ainsi que dans la lande et les pelouses maigres. Comme toutes les espèces de la famille de Dianthus (œillets), l’Œuillet arméria fait aussi partie des espèces protégées en Allemagne. En Rhénanie-Palatinat, elle n’est pas menacée, mais dans quelques Lands elle est enregistrée dans la Liste Rouge des espèces menacées. L’Œuillet arméria est une plante bisannuelle qui forme une rosette de feuille dans la première année et une pousse à fleurs branchue dans la deuxième année.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu der Art in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/3720
Die Echte Nelkenwurz (Geum urbanum) kommt verbreitet in der Pfalz vor. Sie blüht gelb und hat hakenförmige Anhängsel an den Früchten, die z.B. im Fell von Tieren hängen bleiben und so eine Ausbreitung sicherstellen. Auf den Grundblättern der Echten Nelkenwurz kann man regelmäßig kleine blasige Aufwölbungen beobachten. Diese können grünlich, gelblich oder rötlich gefärbt sein. Auf der Unterseite der Aufwölbungen befindet sich meist ein dichter Haarfilz. In diesem leben auch die Verursacher dieser Wachstumsabweichung – kleine Gallmilben. Im Gegensatz zu normalen Milben haben sie nur zwei Beinpaare, was sie deutlich von anderen Milben abgrenzt.
Text und Foto: Julia Kruse
Mehr zur Echten Nelkenwurz in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4133

Der Kleine Wiesenknopf wächst auf sonnigen, oft lückigen Mager- und Halbtrockenrasen, auf mäßig trockenen, meist kalkhaltigen, lockeren Lehmböden. Als Ausnahme unter den Rosengewächsen ist diese Art windblütig, die Bestäubung erfolgt also hauptsächlich durch den Wind. Um die Fremdbestäubung zu fördern, sind die Blüten im Blütenknöpfchen besonders angeordnet: Ganz oben sitzen die weiblichen Blüten, die auch zuerst aufblühen, darauf folgenden zwittrige Blüten und erst ganz unten und zuletzt blühend, sitzen die männlichen Blüten. Allerdings verbreitet sich der Kleine Wiesenknopf auch unterirdisch über Ausläufer.
Wir können dieses Rosengewächs als Gewürz- und Salatpflanze verwenden und auch als Futterpflanze ist es sehr wertvoll.
La petite pimprenelle (Sanguisorba minor)
Le portait du jour est consacré à la petite pimprenelle. Comme son nom le laisse deviner, il existe aussi une grande pimprenelle (aussi appelée sanguisorbe officinale). C’est un peu plus tard dans la saison que nous vous présenterons cette dernière, lorsque celle-ci fleurira. La plante du jour, la petite pimprenelle ou encore appelées sanguisorbe, fait partie de la famille des Rosacées. Attention à ne confondre son nom avec celui des pimpinelles (plantes appartenant au genre Pimpinella), car celles-ci font partie de la famille des Apiacées ! La petite pimprenelle croît dans des milieux ensoleillés et ouverts, qui sont souvent des prairies maigres et mésophiles. Elle se rencontre souvent sur des sols argileux meubles et riches en calcaire. De par son anémogamie, cette plante fait exception parmi les Rosacées : la pollinisation des fleurs est réalisée par le vent. Et c’est aussi pour favoriser une fécondation croisée, entre deux plantes différentes, que les fleurs formant une tête globuleuse (forme d’épi floral) sont organisées de façon particulière. En effet, dans la partie supérieure se trouvent les fleurs femelles, qui fleurissent les premières. Ensuite sont disposées les fleurs hermaphrodites et enfin, dans la partie inférieure de la tête globuleuse, sont situées les fleurs mâles qui fleurissent les dernières. La petite pimprenelle peut aussi se reproduire de façon sous-terraine, par le biais de ses stolons. Cette Rosacée peut être utilisée comme épice ou en salade. Elle est aussi très utile en tant que plante fourragère.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu der Art in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.: https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/4205
Die Grünliche Waldhyazinthe (Platanthera chlorantha) ist eine Orchidee, auch wenn ihr deutscher Name anderes vermuten lässt. Sie kommt in der Pfalz recht selten vor. Etwas häufiger ist hier ihre Schwesterart, die Weiße Waldhyazinthe. Beide Arten sind jedoch im nördlichen Rheinland-Pfalz deutlich verbreiteter als im südlichen Landesteil. Von der Grünlichen Waldhyazinthe (Platanthera chlorantha) gibt es z.B. im Hunsrück deutlich größere Bestände als im Pfälzerwald.
Jede Blüte der Grünen Waldhyazinthe besitzt einen auffällig langen nektarführenden Sporn. An den Nektar am Grund dieses sehr schmalen und tiefen Kelches kommen nur bestimmte Insekten, die einen entsprechend langen Saugrüssel besitzen, namentlich Nachtfalter aus der Gruppe der Eulen und Schwärmer. Mit Beginn der Dämmerung verströmen die Waldhyazinthen einen besonderen Duftstoff, der die Nachfalter anlockt. Beim Versuch, den Nektar zu ergattern, stoßen sie an sogenannte Klebscheiben, wodurch ihnen in der Folge Pollenpakete an Kopf und Rüssel anhaften, die sie zur nächsten Pflanze mitnehmen und diese somit aktiv bestäuben.
Die Entwicklungsgeschichte der Waldhyazinthen kann also als Co-Evolution mit Nachtfaltern verstanden werden.
Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha)
La Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha) est une orchidée, même si son nom allemand ne le suppose pas ! Au Palatinat, elle est assez rare, on y trouve plus souvent son espèce sœur, la Platanthère à deux feuilles. Ces deux espèces sont beaucoup plus répandues au nord de la Rhénanie-Palatinat que dans le sud. Par ainsi, on trouve la Platanthère à fleurs verdâtres plus souvent dans le massif montagneux du Hunsrück que dans la forêt du Palatinat.
Chaque fleur de la Platanthère à fleurs verdâtres possède un éperon très long rempli de nectar. Ce nectar est situé au fond du calice étroit pour lequel il faut une trompe longue. Par ce fait, il n’est accessible que pour certains insectes, notamment pour les papillons de nuit de la famille des noctuelles et des sphingidés. Avec le crépuscule, la Platanthère à fleurs verdâtres commence à répandre un parfum particulier qui attire les papillons de nuit. En essayant de sucer le nectar, ils touchent aux disques collants de la fleur qui collent par ce fait le pollen sur la tête et la trompe de l’insecte. Ensuite, les papillons de nuit l’emportent sur d’autres fleurs et aident activement à les polliniser. La genèse de la Platanthère à fleurs verdâtres peut être compris comme coévolution avec les papillons de nuit.
Autor der Texte und Herausgeber: Natur Südwest, Foto: Oliver Röller
Mehr zu den Arten in der ArtenInfo der POLLICHIA e.V.:
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/5193
https://arteninfo.net/elearning/flora/speciesportrait/5192